
Le constat est alarmant : les diagnostiqueurs immobiliers, qu'on les appelle experts DPE ou experts du diag immobilier, ne possèdent souvent pas la formation technique nécessaire pour appréhender la structure des bâtiments anciens,
notamment ceux en pisé.
Comment expliquer qu'une telle expertise ne soit pas exigée, à l'instar d'un boucher qui doit obtenir un CAP pour exercer ?
Le problème majeur réside dans le fait que ces diagnostics DPE imposent fréquemment des travaux totalement incompatibles avec les spécificités des maisons en pisé.
Cette situation est désastreuse pour les propriétaires qui s'endettent pour réaliser des rénovations inadaptées, alors que les techniques ancestrales et les règles de l'art indiquent des solutions bien plus pertinentes et respectueuses des normes constructives de ces habitations traditionnelles.
Depuis au moins quatre siècles, l'efficacité naturelle du pisé est reconnue.
Les architectes des bâtis anciens et moi même, le soulignent clairement : sur le pisé, la chaux est le matériau privilégié, contrairement au ciment ou à l'isolation moderne.
Ces évaluations inexactes peuvent engendrer des dépenses superflues et potentiellement dangereuses. De plus, un DPE incorrect risque de dissuader de potentiels acquéreurs, malgré les qualités intrinsèques de la construction.
Le propriétaire d'un logement en pisé se retrouve ainsi contraint par une obligation d'isolation, alors que le mur pisé possède des propriétés hygrométriques spécifiques.
De nombreuses parties prenantes sont induites en erreur : diagnostiqueurs DPE, agents immobiliers, notaires, syndics de copropriétés, et les propriétaires eux-mêmes. Il serait essentiel que certains acteurs remettent en question leurs pratiques et leurs connaissances face à ces constructions si particulières.
notamment ceux en pisé.
Comment expliquer qu'une telle expertise ne soit pas exigée, à l'instar d'un boucher qui doit obtenir un CAP pour exercer ?
Le problème majeur réside dans le fait que ces diagnostics DPE imposent fréquemment des travaux totalement incompatibles avec les spécificités des maisons en pisé.
Cette situation est désastreuse pour les propriétaires qui s'endettent pour réaliser des rénovations inadaptées, alors que les techniques ancestrales et les règles de l'art indiquent des solutions bien plus pertinentes et respectueuses des normes constructives de ces habitations traditionnelles.
Depuis au moins quatre siècles, l'efficacité naturelle du pisé est reconnue.
Les architectes des bâtis anciens et moi même, le soulignent clairement : sur le pisé, la chaux est le matériau privilégié, contrairement au ciment ou à l'isolation moderne.
Désormais, le classement énergétique DPE erroné d'une maison en pisé est juridiquement opposable
.Les propriétaires, acompagné du rapport de l'expert pisé, peuvent ainsi engager une action pour incompétence contre le diagnostiqueur.
Ces évaluations inexactes peuvent engendrer des dépenses superflues et potentiellement dangereuses. De plus, un DPE incorrect risque de dissuader de potentiels acquéreurs, malgré les qualités intrinsèques de la construction.
Le propriétaire d'un logement en pisé se retrouve ainsi contraint par une obligation d'isolation, alors que le mur pisé possède des propriétés hygrométriques spécifiques.
De nombreuses parties prenantes sont induites en erreur : diagnostiqueurs DPE, agents immobiliers, notaires, syndics de copropriétés, et les propriétaires eux-mêmes. Il serait essentiel que certains acteurs remettent en question leurs pratiques et leurs connaissances face à ces constructions si particulières.
L'expertise des maisons en pisé, l'expert pour répondre aux questions posées:
Un mur en pisé qui a été enduit, lorsque l'enduit est retiré il faut réparer le mur pisé qui a subi quelques maltraitances
etl'expert vous conseille comment faire pour combler un trou dans le pisé, boucher une fissure
Que faire avec l'humidité dans les murs, une fissure dans la façade,
une mauvaise réalisation des enduits de chaux sur la maison en pisé
.L'infiltrométrie est une méthode de test qui vise à mesurer l'étanchéité à l'air des menuiseries
et,plus généralement, de l'enveloppe d'un bâtiment clos et couvert. Ce test consiste à quantifier les flux d'air qui s'infiltrent à travers les points faibles de cette enveloppe, tels que les joints des fenêtres et des portes.
Contrairement à une idée répandue, l'infiltrométrie n'évalue pas l'étanchéité globale de la structure, mais celle de ses composants.
Elle se distingue nettement du diagnostic de performance énergétique (DPE) par sa capacité à fournir des mesures directes et quantifiables des fuites d'air. En mesurant les débits de fuite sous une pression donnée, l'infiltrométrie offre une évaluation plus précise de la perméabilité à l'air d'un bâtiment.
Ce type de test est essentiel pour identifier les sources d'inconfort thermique, les risques de condensation et les déperditions énergétiques, contribuant ainsi à améliorer l'efficacité énergétique globale du bâtiment.. .